Restaurant Table Penja

Table Penja, le restaurant qui métisse la bistronomie française

Après plusieurs années de réflexion et beaucoup de recettes, le chef Pierre Siewe dévoile Table Penja, un restaurant bistronomique, qui établit des correspondances entre la cuisine française et le meilleur des épices d’Afrique.

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LE PROJET

Le restaurant Table Penja n’est pas né sur un coup de tête, mais d’une réflexion mûrie et d’un long parcours. Après 13 ans au Garde-Temps, Pierre Siewe célèbre une cuisine unique mêlant tradition et exploration. À Table Penja, il sublime la bistronomie qui l’anime, en mariant produits et épices africains à la cuisine française traditionnelle.

Ce métissage subtil, reflet d’une grande ouverture d’esprit, est au cœur de son art. Pour Pierre Siewe, accueillir est une passion guidée par la générosité. Ici, pas de grands discours : juste le plaisir de partager ce qu’il aime et maîtrise, pour ravir chaque convive.

Le restaurant Table Penja n’est pas né sur un coup de tête, mais d’une réflexion mûrie et d’un long parcours. Après 13 ans au Garde-Temps, Pierre Siewe célèbre une cuisine unique mêlant tradition et exploration. À Table Penja, il sublime la bistronomie qui l’anime, en mariant produits et épices africains à la cuisine française traditionnelle.

Ce métissage subtil, reflet d’une grande ouverture d’esprit, est au cœur de son art. Pour Pierre Siewe, accueillir est une passion guidée par la générosité. Ici, pas de grands discours : juste le plaisir de partager ce qu’il aime et maîtrise, pour ravir chaque convive.

DES PLATS DÉJÀ SIGNATURE

Parmi les plats déjà signature et ancrés dans le foisonnant répertoire de Pierre Siewe : un poulpe de roche poché et laqué au bongo, ou encore un ris de veau au tamarin et cacao amer. Côté sucré, pour les desserts, Pierre Siewe dévoile une glace au poivre vert, l’un de ses classiques : un riz au lait agrémenté de noix de coco
croustillante, accompagné d’une glace aux épices jujube.

LA SCIENCE DU POIVRE

“J’utilise le poivre de Penja depuis vingt ans, et il ne m’a jamais quitté. J’en ramenais du Cameroun et j’en offrais à mes premiers chefs. Mais j’avais besoin d’aller encore plus loin et de le célébrer dans toute sa noblesse.”